7 oct. 2010

Le choc des titans





Première rencontre pour Jérôme et Jb, dimanche 20 juin:

"Always remember that others may hate you but those who hate you don't win unless you hate them. And then you destroy yourself."




23h30... J. B. Kennedy a les mains moites en alignant les jetons représentant les états démocrates... la campagne semblait s'être bien déroulée, mais obtenir 269 votes lui parait soudainement impossible... allez, un dernier état... ouf ! la majorité est atteinte, mais ce fut une nouvelle fois serré. Ce satané Nixon, malgré sa barbe naissante et ses pénuries de momentum nous a donné de fil à retordre. J. B. Kennedy peut aller se coucher dans son pyjama présidentiel, très satisfait de cette victoire, mais légèrement déçu par une campagne finalement très tactique et calculatoire, à laquelle il manquait un zest de panache, un soupçon de passion... Il faut maintenant se reposer, car d'autres échéances électorales attendent notre nouveau président, son mandat étant remis en jeu dès le mois prochain (c'est court, les mandats américain ! 

 Résumé succint de la campagne : Jérôme-Nixon se téléporte rapidement sur les terres démocrates pour venir influencer les médias dans l'Est et prendre possession de l'Etat-clé : New York. Cet état ne sera d'ailleurs jamais contesté, car le combo 4 soutiens de l'Etat + 3 supports des médias coûte vraiment cher à démobiliser. Les deux candidats ne seront finalement pas très mobiles, préférant diriger la campagne à distance, se regardant en chiens de faïence à deux pas l'un de l'autre. Une belle pression de JB Kennedy sur les appuis lui permettra de prendre un certain avantage, et surtout priver régulièrement Nixon de Momentum. Le débat sera à l'avantage du camp démocrate, tâche facilitée par la barbe naissante de Nixon, qui permettra à Kennedy d'anticiper les attaques de la partie adverse (débat : 6-3 Kennedy). Les dernières actions de campagne laisseront planer une certaine incertitude sur les résultats, Nixon se décidant enfin à bouger pour aller conquérir quelques fiefs démocrates dans le Midwest, pendant que Kennedy assurait ses positions dans le Sud. Le jour de l'élection, la Californie se montrera solide face aux multiples décomptes républicains, et maintiendra son soutien à Kennedy, lui offrant peut-être alors la victoire, d'une courte tête. Les deux candidats ont beaucoup appris sur cette partie, et sont prêts à réécrire l'histoire une prochaine fois contre d'autres adversaires chevronnés !

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